Pur sang anglais
Le Pur sang anglais est un étalon de course de par ses nombreuses aptitudes, il excelle en course hippique et sport équestre comme le saut d’obstacle par exemple. Ce cheval est doté d’une certaine rapidité et d’une élégante souplesse, cet animal de compagnie a influencé de nombreuses races dans le monde en leur apportant un peu de son agilité.
De nombreux adeptes ne parlent que de lui en raison de sa partielle faillibilité et de son caractère par moment farouche, il n’est pas adapté à tous les cavaliers. L’histoire du pur sang anglais part des Anglais qui avaient un souci celui de produire un cheval doté d’une bonne vitesse et aussi d’une parfaite vaillance, dont la capacité pousserait à le reconnaître sur des champs de course. C’est en effectuant un croisement entre des grands chevaux arabes et des juments que naquit le pur sang anglais. En Angleterre, la coutume des courses des chevaux date de plusieurs siècles soit depuis le seizième siècle. Henri VIII lui-même l’applaudie et fit venir des étalons anglais depuis les pays d’Espagne et l’Italie. C’est ainsi qu’ils furent croisés avec des races anglaises dotées d’une certaine vitesse spécialement le galloway et le hobby irlandais. Les gouvernements suivants prirent la relève des élevages de chevaux de course. La race pure sang fut mise en place à partir du dix-huitième siècle. A cette période on n’arrêta d’user de sang arabe, qui avait bien évidemment permit de perfectionner et aussi d’apporter une bonne durabilité à la race mais n’aida pas à accroître sa vitesse.

Cheval pur sang anglais
C’est ainsi qu’on observa de bon résultat en croisant entre eux des spécimens anglais. La rapidité des purs sang accéléra à mesure que les producteurs procédèrent à des sélectivités des spécimens mieux agiles et davantage vifs. L’élevage des purs sang connu ainsi une bonne renommée et se propagea dans plusieurs contrées. De façon générale l’origine des puds sang date de l’époque des trois grands étalons orientaux :Byerley Turk, Darley Arabian et Godolphin Arabian. En administrant un nouveau sang et surtout déterminant, ils servirent à équilibrer une variété de cheval de course. Byerley Turk, après avoir donné un coup de main en tant que cheval de bataille, devint cheval au haras de Durham au terme du dix-septième siècle. Il est l’innovateur de la première généalogie de pur-sang, qui renferme dans ses rangs le fameux Hérold, dont les poulains gagna plusieurs succès. Darley Arabian, fut à cette ère le plus grand des pur-sang avec ses 1,52m, il fut croisé dans les premières dates du dix-huitième siècle avec la pouliche Betty Leedes. Flying Childers, le cheval né de cette reproduction, devint le premier authentique crack des champs de course.

Cheval de course pur sang anglais
Il se faisait remarquer par sa souplesse, c’est dans la lignée de son cousin que jaillit Eclipse, invincible et supérieur de la deuxième généalogie. Godolphin Arabian, chef de la troisième lignée, celui-ci fut employé comme cheval dès 1728. Il est à l’auteur des célèbres chevaux Lath et Cade, dont la descendance se remarqua. Peu après la France et les USA, produisirent de nouvelles lignées en faisant venir des spécimens anglais qu’ils croisaient avec les races régionales. Des rejetons furent à leurs tours acheminés en Angleterre lieu dans lequel de multiples lignées virent le jour.
De par ses caractéristiques, le pur sang anglais a vu le jour dans les îles britanniques. C’est un cheval aimable dont la robe est lisse et n’est pas du tout accommodé pour les climats âpres. Il ne s’adapte ni au froid et moins encore au grand coup de chaleur. Il doit être élevé dans les localités douces où l’herbage et l’avoine sont en grande quantité. Sa taille est moyenne et atteint les 1m 57 selon la lignée. Pour ce qui est des se robes, les robes les plus connues sont le bai-brun, le bai et l’alezan, mais diverses lignées renferment des teintes grises.
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