Cheval trotteur – Américain, Français et Orlov
Le Trotteur est un cheval connu de beaucoup de gens. A ce jour on compte trois sortes de Trotteur : le Trotteur américain, le Trotteur français et enfin le Trotteur Orlov. Cet article sera assez long car nous allons parler de ces trois » races » de trotteur, leur origine, histoire et capacités en course.
Premièrement le trotteur américain
Pour commencer, nous parlerons du trotteur américain qui est encore nommé standardbred ou american standardbred, cette race chevaline fut sélectionnée aux USA pour ses exploits lors des courses de trot. Le vrai géniteur du Trotteur américain est un cheval Pur-sang le Messennger, qui provient de Darley Arabian ayant vu le jour en 1780 en Angleterre, celui-ci débarqua à Philadelphie à la date de mai 1788. L’un de ses descendants est Abdallah qui donna Hambletonian 10, né en 1849. Les lignées de ces ancêtres ont été accouplées avec trois souches de Trotteur transportées du Canada et les Trotteurs Belfound, provenant du cheval Norfolk Belfounder. Un stud-book fut ainsi établi en 1871 et le mot Standardbred fut accepté en 1879 faisant évocation à la rapidité demandée sur une portée de mile soit de 1,6 Km qui était tenu d’être sillonnée en 2′ 300 » pour les Trotteurs et de 2′ 25 » pour les Ambleurs.
D’ou vient le trotteur français ?
Ensuite nous parlerons du Trotteur français, dont les origines datent du commencement du Dix-neuvième siècle en Normandie et vraiment relié à l’élevage des étalons anglo-normand. Au début celui-ci fut croisé avec des Trotteurs Orloy, le trotteur français ne prit son qualificatif qu’en 1922. Les toutes premières courses de Trotteur en France débutèrent en 1836, sur la grève de Cherbourg à la suggestion d’Éphrem Houël, officier des Haras nationaux. D’après lui, les courses étaient la meilleure façon de prendre connaissance d’une sélection des exceptionnels étalons de selle, c’est ainsi que le premier croisement eut lieu en 1830. Des pouliches aborigènes furent donc accouplées à des chevaux pur-sang anglais et des Pur-sang arabes, mais les aboutissements ne sont pas du tout satisfaisant. En 1850, les éleveurs normands débutèrent à employer des trotteurs Norfolk en accouplement, lignée de Trotteur ; inexistante de nos jours et des Pur-sang anglais et des Trotteurs Orloy amenés de Russie. Les années passèrent et en 1864 naquit les majeurs supérieurs de la race c’est sur cette période que naquirent les principaux chefs de race : Conquérant (1858), Lavater (1867), Normand (1869), Niger (1869) et Phaëton (1871).
Nombreux Trotteurs français ont pour descendants ces cinq étalons. C’est ainsi qu’on accorda de l’importance à la course au trot monté et aussi les importants trajets. Petit à petit, après le premier conflit mondial, le trot attelé devient la spécialité majeure et les étalons acquièrent de la vitesse. Cela aurait pour conséquence de diriger la création vers des variétés de trotteurs : le premier imposant et structuré accommodé au trot et le deuxième, fut plus souple pour la course attelée. Ces temps derniers il a vraiment était inspiré du standardbred américain, avec qui on l’accouplé au terme des années 1970. Ce cheval ne possède pas un standard régulier, il se distingue malgré tout par un modèle massif, avec une arrière-main vraiment traitée, un sternum apparent et une tête droite voir même voûtée.
L’élevage de cette race chevaline est effectué en Basse-Normandie et n’est qu’affichée par des petits paysans dotés que d’une poignée de pouliche. C’est un cheval qui peut devenir un parfait cheval de passe et de championnat si on le forme à nouveau. Sa taille est entre 1m 60 et 1m 70 au garrot et pour ce qui est de sa robe, celles-ci sont toutes acceptées et les robes les plus populaires son les robs baies, brunes et alezanes. Le trotteur français est un étalon soumis et vif.
Enfin, parlons du trottoir Orlov
Et pour terminer, nous parlerons du Trotteur Orlov qui est qui est une race chevaline sélectionnée pour les circuits de trot et provient de Russie. Cette race est produite dix-huitième siècle par le Comte, c’est une race de trotteur qui étant l’une des plus populaires. Celle-ci fut produite pour surévaluer les autres, le haras d’Ostroy fut crée non loin de Moscou par le Comte. Elle est issue des accouplements d’étalons amenés par le Comte Orlov : un effectif important de chevaux Pur-sang arabes, mais également des pouliches hollandaises, danoises, Pur-sang anglais et arabes. On pensa que le haras d’Ostroy était en dessous de son nombre, on alla alors le placer dans la province de Voronej au sud de Moscou. En 1778 fut bâtit le haras de Khrenov, lieu dans lequel à la suite d’une multiplicité d’accouplement vu le jour le Bars Ier, qui s’avère être un parfait étalon à la course et fut ainsi le premier issu d’une longue descendance d’Orlov. Le Trotteur d’Orlov a été conçu pour les trajets de trot attelé, sa taille est entre 1m 55 et 1m 72 et pour ce qui est de ses robes, elles sont communément grises principale spécification de cette race. C’est un cheval vif et présomptueux, il est important qu’il trouve un bon cavalier.
Si vous suivez les courses de chevaux PMU, quinté… vous pourrez en voir très souvent.
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