Cheval de Trait ardennais
Le Cheval de Trait ardennais est une vielle race abrupte d’étalon de trait de taille moyenne, dont la robe est couramment baie ou encore rouanne. De par son histoire cet étalon a été élevé dans le territoire des Ardennes, qui lui a même donné son nom, et par extension dans la totalité du quart nord-est de la France et également en Belgique et en Luxembourg.
Le cheval de trait ardennais est connu et cité depuis fort longtemps soit depuis les temps anciens, période durant laquelle il est employé à la remonte des armées, l’ardennais devient même au commencement du dix-neuvième siècle l’une des élites races d’étalon de selle et de trait agile pour la remorque du matériel militaire. Sous la souveraineté de Napoléon, ils avaient la renommée d’avoir pu survivre à la ferme de Russie lieu dans lequel on compta environ 13 000 étalons qui perdirent la vie. Plusieurs croisements et une sélection vigoureuse des éleveurs orientés vers les activités agronomiques fut effectué dès le mi du vingtième siècle et firent petit à petit de cet étalon un cheval de trait accablant et énergique connu présentement.
Assigner à la remorque des outillages agronomiques, l’ardennais est un important étalon perfectionniste de race, lui donnant ainsi le mérite d’avoir donné la vie à l’ardennais suédois et à plusieurs autres races de trait telle que l’Auxois et le trait du Nord.
A l’exemple de toutes les races chevalines de trait, la fin du tirage hippomobile et l’emploi du tracteur engendra la fin de son élevage et un abaissement draconien de ses nombres. Limiter au rôle presque unique de cheval de boucherie pendant vingt ans, l’ardennais tire avantage au commencement du vingtième siècle d’un tout nouveau emballement causé au côté environnemental de son emploi pour l’entretien des coins verts, le déchargement en forêt et les passes temps à l’ordinaire, mais également pour son agilité sur plusieurs types de territoire.
En France en l’année 2009, il est passé à la quatrième race de cheval de trait, celle même qui est comptée comme étant la plus affichée en matière de nombre. Les éleveurs d’origine Belge ont amplifié par croisement une nouvelle descendance affectée à l’attelage de championnats : l’Aratel. Comme tout cheval, le cheval de Trait ardennais est peint comme étant l’un des premiers chevaux corpulents du monde. Son standard est décrit par les sociétés du stud-book belge, français et même luxembourgeois, tous en possède un.
Ces standards sont près les uns des autres et s’entendent parfaitement pour ainsi mettre en place l’étalon parfait jugé comme massif, robuste et proportionné. La taille de ce cheval est entre 1m 52 et 1m 65m et pour ce qui est de ses robes, les plus rencontrées chez ce bel étalon sont le baie et le rouan, couramment pangaré, c’est à dire avec le bout du nez, les bordures des yeux, l’intérieur des jambes et le vente d’une couleur plus brillante ou délicatement grise. L’alezane, le gris fer, l’aubère et l’isabelle sont à l’occasion acceptés. Le bai brun vraiment sombre serait admis, mais le reste des robes ne sont pas du tout autorisées. De par son attitude, ce cheval est doté la plupart des temps d’une attitude tendre, l’ardennais peut être dirigé sans souci par un gamin. L’ardennais sait se montrer bienveillant et abrupt, mais nonobstant vif, il se montre aussi soumis. Les chevaux de Trait ardennais sont censés posséder des caractères corrects, vifs et plutôt dégagés.
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Je sais pas pourquoi vous croiser avec de l’arabe avec l’ardennais pour former le Aratel alors qu’il existe une race au Canada (le cheval Canadien)qui est descendante du cheval ardennais Français ancien .La race Canadienne a été former dans les années 1666 avec Ardennais et d’autres race Française provenant de la Normandie et de Bretagne.Envoyer en Nouvelle France par par le Roi Soleil Lois XVII entre 1665 et 1671.
. Les analyse génétique confirme leurs parentés avec les chevaux Belge et degré moindre chevaux de trais Français. Comme il n’y a pas eu beaucoup de descriptions et détailles sur la conformation et la provenance des chevaux envoyer par Louis XIV et Colbert dans la nouvelle colonie sauve quelques exquis et peintures très peut de mention et de correspondance sur le sujet.
Ils a été émis quelque hypothèses sur les origines du cheval canadien, celle qui à attirer la plus mon attention est la moins populaires et rejetés par la majorités, c’est l’avis toute différent sur l’origine des premiers chevaux venus en Nouvelle-France se fut celle de : Louis Joseph de Montcalm-Gozon, marquis de Saint-Véran (dit de Montcalm).
Je me suis dit et si elle se révèlerais peut-être vrais je me devais de l’approfondir un peut plus et relis le texte du Marquis de Montcalm sur ses observations de1756.
Selon M. Paul Bernier dans sont livre: LE CHEVAL CANADIEN (p. 71) ¨ Remontant le Saint-Laurent en 1756 vers Québec, le général est contraint par les vents d’aborder à la Petite Ferme, propriété du Séminaire de Québec, près de Saint-Joachin et doit terminer son voyage en voiture à cheval.
Il note :
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L’analyse de Montcalm voulais simplement dire que: Dans les Ardennes cette race de cavales étaient très apprécier et rechercher ils avaient d’assez près les mêmes qualités que le Canadien. Tout comme eux le cheval de la Nouvelle-France étaient très fort, très endurant et avaient les même qualités extrinsèque et caractère intrinsèque commun avec le cheval Ardennais de l’époque.
Rock Langlois email: rocklanglois225@ icloud .com
J’ai eu un problème technique de transcription voici les ajouts pertinents:
La provenance des chevaux envoyer par Louis XIV et à Colbert dans la nouvelle colonie (Nouvelle France).
Louis Joseph de Montcalm-Gozon, marquis de Saint-Véran (dit de Montcalm)
Sur ses observations de 1756.
Il note :
» » « L’espèce des chevaux est dans le goût de ceux des Ardennes, de
même pour la force et la fatigue, de même que pour la tournure » » »
Grâce à l’initiative de M, Rick Blackburn, et de quelques bons éleveurs et passionné de Canadien du Québec qu’ils ont eu à cœur la race en fournissant des échantillons d’ADN et des informations pertinents à leurs cause commune. »
Cette étude génétique ancestrale des chevaux Canadien a conduit à une investigation réalisée par des chercheurs donc le docteur E. Gus. Cothran, et ses confrères confirment scientifiquement que les ancêtres de la race canadienne sont du en grande partie à l’ascendance des chevaux provenant de la Belgique plus que tout autres races. Une partie de la Belgique du Luxembourg ainsi que le nord de la France fonts partis des Ardennes.